Découverte ce WE d’un restau trés agréable à La Tour d’Aigues, l’Auberge de la Tour. On avait déjà essayé d’y aller en été, mais c’était plein.
Là, un vendredi soir pluvieux de fin mars, on n’était pas trés nombreux dans la salle. L’été, on peut manger dehors sur la terrasse (il me semble), mais la salle est agréable, même si je n’adore pas le choix des couleurs (vert anis et rouge sombre…).
Accueil tout sourire de la gentille serveuse qui nous conseille très bien. Aux fourneaux, il y a Colette Mehdi qui fait tout toute seule, si j’ai bien compris.
Le plus dur a été de choisir, mais comme autour de la table tout le monde a pris des plats différents, j’ai pu goûter à presque tout.
Mention spéciale en entrée à la crème d’artichauts au foie gras. Moins originales, mes asperges étaient cependant délicieuses, servies avec un filet d’huile d’olive et soupoudrées de parmesan.
Pour les plats, difficile de départager les noisettes d’agneau (fondantes) dans une crème d’ail, le chevreau rôti – confit, et le misson : spécialité locale, une sorte de grosse andouillette faite par Colette elle même, servie avec des pois chiches parfumés.
Au dessert le nougat glacé maison était parfait.
Le tout arrosé par le vin délicieux de Michel Oliver (le cuisinier) qui a acheté un domaine à la Tour dAigues.
Le menu (entrée plat dessert) est à 25 € le soir. Il y a un petit menu à 15 € à midi. Les plats sont trés copieux, donc si vous n’avez pas une faim de loup, vous pouvez prendre juste un plat à la carte.
51, rue Antoine-de-Trets |
LA TOUR D AIGUES
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Tél : 04 90 07 34 64
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ouvert tous les jours sauf lundi.
PS (juillet 2010): Un lecteur me signale (merci à lui) que Colette Mehdi n’est plus aux fourneaux. Dommage ! De fait je n’étais plus revenue manger à la Tour d’Aigues depuis un moment.
Heureux de trouver un blog citant L’auberge de la Tour tenue par Colette.
Malheureusement ce restaurant a désormais changer de propriétaire, de cadre et donc forcément de cuisine. Toutefois, essayant de s’en approcher, les cuisiniers n’arrive pas à égaler l’alchimie que
Colette avait avec la cuisine.
Merci pour votre blog.
Antoine