Bien que j’ai l’impression d’être accro au festival Visa pour l’Image de Perpignan depuis une éternité, si je réfléchis bien, ça ne fait finalement que six ans que j’y vais. Mais depuis six ans c’est devenu le rituel de la rentrée auquel je ne veux surtout pas déroger.
Pour quelqu’un comme moi, qui ne lis pas les journaux qui n’a pas la télé, et qui globalement n’est pas très accro aux informations, c’est chaque année un rappel salutaire qu’ailleurs dans le monde la vie n’est pas aussi facile que la mienne.
Comme l’année dernière, les sujets principaux sont l’Ukraine et toutes les avanies que nous faisons subir à notre pauvre planète bleue.
Retour en images sur les expos qui m’ont marquée, en commençant par mon coup de cœur, « The Day May Break », de Nick Brandt que je traduirais par « Le jour peut se lever » même si d’autres interprétations sont possibles.
Des photos stupéfiantes de beauté de personnes et d’animaux touchés par la destruction de leur environnement. Continuer la lecture de Visa pour L’image a 35 ans