Entre deux caisses, le bonheur

Sous ce titre sibyllin, un boys band de cinquantenaires (voire plus ?), 4 mecs bourrés de talent qui nous ont enchanté pendant 3 petits 1/4 d’heure bien trop courts en ce mémorable après midi du 20 septembre.

Moi, j’ai de la chance, ça fait longtemps que je les connais et que je les aime. Pour le public de Bouc Bel Air qui les découvrait, ce fut une révélation, si j’en crois le tonnerre d’applaudissements et la standing ovation spontanée à la fin de leur concert. Une standing ovation, salle des Terres Blanches à Bouc Bel Air ? Pour un groupe de cinquantenaires un peu anars ? Eh oui…

Il faut dire que la poésie et l’humour de leurs textes, la légèreté et la suavité de leurs mélodies, le justesse de leurs voix ne sont rien par rapport à la sympathie qu’ils déclenchent.

Ils repasseront l’an prochain à Bouc. Heureusement parce qu’ils me manquent déjà. En attendant, je pourrais aller les écouter, mais c’est loin (ils ne tournent guère dans la région). Pour me consoler j’ai acheté leur dernier CD et il tourne en boucle sur ma platine.

Je vous donne l’adresse de leur site où vous pourrez écouter 3 titres et mater une petite vidéo. Et rendez-vous à Bouc Bel Air… Ou plus tôt ailleurs, vous trouverez leur agenda sur leur site.

http://entre2caisses.free.fr/index.php

Quelques images prises dimanche par Caroline.

2 réflexions sur « Entre deux caisses, le bonheur »

  1. “Je pète au lit, je pète au lit, mon mâchicoulis sent le brocoli…” Voici ce que chantonne désormais le papoose… C’est malin ! Ça me promet encore une belle honte à l’école ! Merci Christine !

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