uatuor Vagabond fait partie de mes 2 préférés : Opa Tsupa, à 21 h au théâtre des Lucioles. C’est toujours aussi brillant, gai, péchu…Le pianiste toujours impassible, le violoniste virtuose et l’accordéoniste fabuleux. Il faut bien dire qu’ils ont tout fait pour que je les aime, puisque, assise comme toujours au premier rang, ils m’ont dédié un de leurs morceaux et leurs oeillades assassines (je vous rassure, c’était pour les besoins du spectacle, mais pendant 5 mn, toutes les femmes de l’assistance ont dû être jalouses de moi…)Bref, n’hésitez pas , allez-y, mais pensez à réserver.
Toujours du cirque dans ma short list : Le Cirque sans Nom, à 19 h à l’île Piot. C’est magique, un univers à part, des machines drôles, des personnages rêveurs, une inventivité incroyable. J’ai adoré.
Après ça, j’ai aussi aimé :
– Minuit Song, à 16 h 40 aux Lucioles, une comédie musicale drôle, bien chantée, bien jouée.
– Gérard Morel et la clique qui l’accompagne à 20 h 50 aux Lucioles, de la chanson accompagnée par un orchestre ébouriffant, un virtuose des mots qui chante bien et qui aime toutes les bonnes choses de la vie.
– Klinke à 17 h au Collège de la Salle : du cirque italien, drôle et tendre.
Je n’ai pas réussi à voir les spectacles à Villeneuve, puisque tous font relâche le mardi, juste le jour où on voulait y aller… c’est bête !
Le bouche à oreilles dit grand bien du Cabaret Cirque des Arrosés, à la Barthelasse à 21 h.
Sinon, on a vu quelques spectacles mauvais, voire très mauvais, mais je ne donnerai les noms qu’à ceux qui m’en feront la demande expresse…
Le coup de gueule de l’année concerne la nouvelle carte du Off.
Jusqu’à présent, toutes les compagnies la vendaient, c’était rapide et ça marchait bien. Trop bien sans doute, puisque maintenant la carte n’est plus vendue qu’à la maison du Off, c’est une carte format carte de crédit avec photo, il y a deux heures de queue pour la faire faire, et ce n’est expliqué nulle part…
Certaines compagnies (mais pas toutes, ce serait trop beau) vendent des contremarques à échanger contre la fameuse carte. Par contre, du coup, ce n’est pas à la maison du Off qu’il faut aller retirer sa carte, mais à la mairie, et aux horaires de bureau, s’il vous plaît… Et on ne mélange pas : à la maison du Off impossible d’échanger sa contremarque, à la mairie, impossible de faire faire sa carte sans contremarque !
Je ne sais pas quel esprit brillant a pondu ce système, mais il devrait aller se faire soigner. Du coup, ils ont perdu au moins une carte, puisque Philippe, écoeuré par l’attente, a laissé tomber mais a quand même réussi à bénéficier du tarif Off quasiment partout !
Je pourrais encore vous parler d’Avignon jusqu’aux petites heures… Résumons les points importants :
– notre bistrot fétiche, AOC, est toujours aussi sympa, aussi bon, aussi tout ! Je vous conseille le carpaccio de canard, la salade de foie gras, les planches de charcuterie et de fromages, Philippe passe l’année à rêver de leur tartare au couteau… Au 5 place de Jerusalem, c’est une valeur sure.
– depuis longtemps je voulais le tester : l‘Epicerie, sur l’adorable place St Pierre est vraiment très bon, même si un peu plus cher. Pour 17,50 €, une grande assiette pleine de bonnes choses, un cadre magnifique, un service agréable.
– la palme des toilettes les plus surprenantes revient au restau “merci Tonton” sur la place des Carmes. Je vous laisse découvrir !

Le Quatuor Vagabond, qui revient avec un nouveau spectacle (que je ne connais donc pas) : Opa Tsupa, à 21 h à la Condition des Soies. C’est de la musique un peu tsigane, un peu classique, mais des musiciens exceptionnels et un spectacle drôle et merveilleux (en tout cas le précédent était comme ça !)
ettes et pas de cordes. On avait acheté le CD et on l’écoute toujours…


en cuisine. J’ai des excuses, mon premier (et pendant longtemps mon seul) livre de cuisine a été tout simplement “La Cuisine du Marché” de Paul Bocuse. Je peux donc lâcher négligemment dans la conversation, “oui, j’ai été formée par Bocuse..” ” et par ma maman”, devrais-je rajouter pour être exacte.Bocuse m’a donc appris tout ce que ma mère ne m’avait pas transmis dans le domaine de la cuisine bourgeoise. Plus tard, je devais découvrir le sucré-salé et les épices avec “La cuisine de Shéhérazade” d’Odile Godard, livre qui devait durablement infléchir ma façon de cuisiner, mais ceci est une autre histoire.
n quartiers. Serrer ces morceaux les uns contre les autres pour en garnir le moule. Semer dessus les 50 g de sucre restant, et les 25 g de beurre en lamelles.
e suis trés cyclothymique (on est tous cyclothymiques dans cette famille) et quand je trouve quelque chose qui me plaît, j’ai tendance à le ressasser jusqu’à plus soif (plus faim en l’occurrence).
Le secret de ce caramel, c’est le “Golden Syrup” de chez Tate & Lyle, dans son adorable petit pot vert et or. Ce produit a enchanté les flocons d’avoine de mon enfance et, à l’époque, j’étais fascinée par la mention “by appointment to Her Majesty the Queen”. En mangant mon porridge, je me sentais une vraie princesse.
e, dont il va utiliser le produit d’archivage d’images, d’un photographe exceptionnel, Olivier Föllmi.Vous connaissez tous beaucoup de ses photos, elles ont fait la couverture de National Geographic et de plein d’autres revues.
Réveil morose sous une pluie battante. Pendant les 15 jours de navigation on a eu un temps de rêve, pas une goutte d’eau, pas trop chaud, mais depuis le jour où on a rendu le bateau, le temps est moyen.


Sans compter les mystérieux semi-remorques remplis d’énormes fruits épineux. On a pensé un moment que c’étaient des 






